Foire aux questions
Nous rassemblons ici les réponses aux principales questions posées. Si vous avez d'autres questions, n'hésitez pas à nous contacter.
Nous rassemblons ici les réponses aux principales questions posées. Si vous avez d'autres questions, n'hésitez pas à nous contacter.
Le comité de démarrage, appelé comité Germinsation, est composé actuellement de :
Non. Le Grand dialogue est un projet citoyen et collectif. Nous bénéficions toutefois du soutien de certaines organisations, notamment les organisations d'attache de certains membres du comité de démarrage (UQAC, CREDD, Eurêko). Ces organisations agissent notamment comme fiduciaires des financements obtenus.
Le Grand dialogue est donc un collectif. Il n'est pas prévu, du moins à court terme, d'en faire une entité légalement constituée.
Quand vous organisez des activités d'animation autonomes, nous vous assurons que toutes les informations que vous nous transmettrez demeureront absolument anonymes. La fiche synthèse à compléter sur notre site internet n'offre pas d'inscrire les noms. Seules quelques caractéristiques des personnes présentes sont demandées (âge, genre, ville ou village), pour des fins statistiques (on veut avoir une idée de la diversité).
Par contre, certaines informations sont du domaine public, comme les plans d'action, les rapports d'activités ou d'autres documents pertinents pour la transition. Dans ce cas, la source des informations sera affichée.
Les informations recueillies, y compris celles que vous nous transmettez à la suite de vos activités d'animation autonome, seront regroupées et analysées par l’équipe du Grand dialogue et par l’équipe de recherche qui participe à l’initiative.
La compilation des données recueillies lors du Grand dialogue sera aussi disponible pour toutes personnes qui désirent les consulter. Nous travaillons pour rendre les données accessibles en mode « données ouvertes ». Ces données seront bien sûr anonymes.
Différents projets de recherche vont avoir comme objet la démarche du Grand dialogue.
D’autres projets de recherche sont susceptibles d’émerger de cette expérience unique.
Pour l’instant, les principales personnes impliquées dans la recherche sont Olivier Riffon, professeur en éco-conseil à l’UQAC, et Sophie Del Fa, professeure en communication à l’UQAC.
Nous travaillons présentement à élargir les collaborations de recherche au sein de l’UQAC et avec d’autres universités, notamment avec des membres du Centre de recherche en développement territorial (CRDT), avec le Centre de recherche en santé durable (CRSD) et avec le Centre interdisciplinaire de recherche en opérationnalisation du développement durable (CIRODD).
La démarche du Grand dialogue est rendue possible par l'implication bénévole d'un grand nombre de personnes. Toutefois, la démarche ne pourrait se déployer avec l'ampleur que nous souhaitons sans un minimum de financement.
Plusieurs contributions monétaires ont permis au Grand dialogue de voir le jour. Certaines proviennent de fonds de recherche, d'autres proviennent du milieu. Plusieurs démarches de financement sont présentement en cours.
Voici les principaux contributeurs au Grand dialogue à ce jour :
Oui, vous le pouvez.
Nous souhaitons d'ailleurs faire du Grand dialogue un projet soutenu par la communauté régionale.
Nous développons une campagne de financement social pour le projet. Il sera possible de contribuer à titre individuel ou comme organisation. Nous vous informerons bientôt de la démarche à suivre.
Si vous souhaitez contribuer maintenant, et ne pouvez attendre la campagne, juste à nous contacter!
Les dépenses associées au Grand dialogue sont de plusieurs ordres. Notons principalement :
Nous prévoyons présenter un rapport annuel des dépenses, afin d'assurer la transparence de la démarche.
Le Grand dialogue n’est pas un parti politique, ni un mouvement politique.
La démarche du Grand dialogue s’inscrit toutefois dans une démarche politique, dans le sens large du terme, puisque nous souhaitons nous mobiliser pour travailler sur les enjeux sociaux, écologiques, économiques et culturels dans la région.
Il s’agit d’une démarche non partisane. Toute personne qui souhaite participer au dialogue et travailler à la transition régionale est la bienvenue, peu importe ses allégeances ou appartenances politiques.
Les élues et élus sont également invités à participer au dialogue et à considérer les rêves, les actions et les opportunités qui y seront proposés.
Pour l’instant, l’initiative est portée par des citoyennes et citoyens.
L'objectif du Grand dialogue n'est pas de prendre position sur les grands projets industriels. Nous sommes d'avis que la transition sociale et écologique doit être réfléchie et planifiée, que les grands projets industriels se réalisent ou non.
Nous croyons que la dynamique actuelle crée des divisions dans la région, qu'elle entraîne une polarisation du débat, alors qu’un grand nombre de personnes, de part et d'autre, souhaitent travailler pour la transition. Nous souhaitons plutôt créer des lieux pour discuter des perspectives d'avenir que nous souhaitons.
La crise actuelle nous a forcé à modifier de manière importante le déroulement du Grand dialogue. Initialement axé sur l'animation de rencontres un peu partout sur le territoire, nous faisons maintenant le pari de multiplier les animations, par la tenue d'activités d'animation autonome.
Ces activités peuvent regrouper de petits groupes, dans des contextes qui permettent de respecter les mesures sanitaires en vigueur.
Dès que la situation le permettra, l'équipe du Grand dialogue pourra déployer des activités d'animation en mode physique sur l'ensemble du territoire.
Nous avons très hâte de vous lire et de vous entendre... et éventuellement de vous rencontrer !